Jeudi 10 octobre 2024 de 18h à 21h
à Espace Kugler Gallery
Programme de la soirée :
● Présentation du roman
● Séance de dédicaces
● Apéritif convivial
Pré-vente exclusive !
Profitez de la pré-vente pour garantir votre exemplaire dédicacé!
Des exemplaires seront disponibles à la vente sur place.
Ne manquez pas cette occasion unique de découvrir le roman d’une écrivaine genevoise et de partager un moment convivial.
Pour celles et ceux qui ne peuvent pas se déplacer le 10 octobre ou si vous souhaitez réserver un exemplaire, vous pouvez contacter l’auteure au 079 812 42 10, une livraison par poste est possible (frais en sus).
Vernissage à l’occasion de la sortie du roman de Stéphanie Simond « L’autre moi »
10.10.24 de 18h à 21h
Espace Kugler Gallery
19, avenue de la Jonction
1205 Genève
Vernissage jeudi 19 septembre 2024 de 18h à 23h
Dj set Larsaint B2B Reda Saiarh dès 19h
Finissage dimanche 29 septembre dès 18h
Ouvert tous les jours de 16h à 20h
Nahuel Rinaudo est né à Berlin en 1998 et s'est installé en Suisse avec sa famille. Il a étudié avec la professeure Susanne Kuehn à l'Académie des Beaux-Arts de Nuremberg, où il a obtenu son diplôme. Depuis 2023, il est représenté par la galerie Vijion à Val Gardena. Il est maintenant de retour à Genève et a le plaisir de présenter sa première rétrospective à l'Espace Kugler, intitulée Panta Rhei.
Les transformations de notre société se reflètent dans notre obsession technologique, qui est exploitée et enregistrée par le biais des médias numériques. Dans ce nexus, nous devenons des êtres bioniques. Nous restons seuls, parfaitement individualisés et constamment visibles. Dans un espace digital panoptique, mes vidéos montrent notre identité en tant qu'êtres auto-plastiques observés dans une rotation mécanique solipsiste. La fonction signifiante est elle-même rendue circulaire comme la limite de l'identification, la circonférence est la référence. Rien ne sera laissé au hasard dans nos échanges sociaux cybernétisés. Le passage d'un art coexistant avec des médias de masse basés sur des formats de reproduction dans lesquels le consommateur est un récepteur d'informations fragmentées et hétérotopiques montre le nouvel ethos et l'art de vivre du fragmentaire. Nous construisons notre propre monde, en tissant des lieux et des sites différents au sein d'une base de données multi-informaliste universelle. N. R.
La peinture de Nahuel est une perception de la conscience esthétique, des cohérences psychogéographiques des expériences qu'il recueille dans son environnement, des cartes mentales, des complexes de réseaux denses, la zone entre la réalité, la perception et son image. Ses images devraient fonctionner dans un sens formel abstrait et en même temps fonctionner comme l'équivalent physique de l'ère de l'information. Il crée une matrice picturale, un hyperespace anachronique hybride où l'esprit et la matière fusionnent dans une atmosphère chromatique. Panta Rhei est une dimension subversive où tout s'écoule dans un espace multiversel en perpétuelle redéfinition.
English
Nahuel Rinaudo was born in Berlin in 1998 and moved to Switzerland with his family. He studied with Professor Susanne Kuehn at the Academy of Fine Arts in Nuremberg, where he graduated. Since 2023, he has been represented by the Vijion gallery in Val Gardena. He is now back in Geneva and is pleased to present his first retrospective at the Espace Kugler, entitled Panta Rhei.
The transformations of our society are reflected in our technological obsession, which is exploited and recorded through digital media. In this nexus, we become bionic beings. We remain alone, perfectly individualized, and constantly visible. In a digital panoptic space, my videos show our identity as self-plastic beings observed in a solipsistic mechanical rotation. The signifying function itself is rendered circular as the limit of identification, the circumference is the reference. Nothing will be left to chance in our cybernetic social exchanges. The transition from an art coexisting with mass media based on reproduction formats in which the consumer is a receiver of fragmented and heterotopic information shows the new ethos and art of living of the fragmentary. We build our own world, weaving different places and sites within a universal multi-informalist database. N. R.
Nahuel's painting is a perception of aesthetic consciousness, psychogeographic coherences of the experiences he gathers in his environment, mental maps, dense network complexes, the zone between reality, perception, and its image. His images should function in an abstract formal sense and at the same time function as the physical equivalent of the information age. He creates a pictorial matrix, a hybrid anachronistic hyperspace where mind and matter merge in a chromatic atmosphere. Panta Rhei is a subversive dimension where everything flows in a multiversal space in perpetual redefinition.
NAHUEL RINAUDO . PANTA RHEI . EXPOSITION SOLO . 19.09.24 - 29.09.24 . ESPACE KUGLER GALLERY
Vernissage jeudi 4 juillet 2024 de 19h à 23h, performance à 20h
Finissage, samedi 6 juillet 2024 de 19h à 23h, performance à 20h
La venue à Genève de l’artiste bolivien quechua Iván Cáceres_ architecte, performeur et vidéaste vivant à El Alto - La Paz_ donne suite à la rencontre avec l’artiste visuelle genevoise Marion Tampon-Lajarriette et à leurs premiers échanges artistiques initiés lors d’une résidence en Bolivie soutenue par Pro Helvetia lors de l’été 2023.
Afin d’approfondir cette collaboration qui aboutira à la co-création d’une nouvelle installation vidéo immersive, les deux artistes ont engagés un échange qui se concrétise par deux moments de rencontre et de tournage : en juillet 2024 dans la région genevoise et décembre 2024 dans la région de la Paz.
L’événement à l’Espace Kugler est l’occasion d’introduire le dialogue artistique initié à travers la présentation de deux vidéos réalisées sur les hauts plateaux andins et repensées comme un diptyque se faisant écho : rituel pour les eaux disparues du lac Poopo avec l’équipe de femmes indigènes constituée par Marion TL, et exploration onirique sur les plateaux arides écrite et performée par Iván C.
Leur projet collaboratif en cours se base sur le croisement de leurs recherches autour des dimensions historiques, politiques et culturelles de l’eau dans leurs régions respectives, se concentrant sur les récits, les mythologies, les pratiques, les relevés, les inventions, les rituels, les combats… Les deux artistes souhaitent ainsi réunir une multiplicité de perspectives dans une création hybride hantée par les traditions autant que par les récits d’anticipation et la recherche socio-scientifique.
Ce projet est rendu possible par le soutien de Pro Helvetia Amérique du Sud, du FMAC Genève, de l’Espace Kugler et de UTOPIANA, résidence d’artistes internationaux à Genève et Espace Kugler Galerie.
Espace Kugler Galerie . 19 avenue de la Jonction . 1205 Genève
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Soyez les bienvenu.es au marché créateur.ices du finissage l’exposition de @petit.tyranillu et @samuelroobin
Venez découvrir une sélection de super créateur.ices et d’artistes❤️
Ça ce passe le 16 juin à @espace_kugler de 13h30 à 19h
Vous retrouverez :
@natinutu (illustration et bande dessinée)
@sebos_gh (Sérigraphie)
@kadia.bijoux (bijoux)
@fnvre (photographie)
@nanocorcelle (photographie)
@enchanteclara (graphisme et affiche)
@stephanie_art_agency (illustration et peinture)
@mlle.graphink (sérigraphie)
@thanhvu_theolotus (objet unique et dessin tirage numérique)
Vernissage le mardi 4 juin à 18h à l'Espace Kugler avec Dj Set @chaaaaaaman
Exposition 4 au 16 juin 2024
Horaire :
Mardi - mecredi : 17h - 19h30
Jeudi - vendredi : 15h - 19h30
Samedi - dimanche : 13h30 - 19h
Dimanche 9 juin 2024 dès 13h30 : impressions de t-shirt en live le dimanche, venez tester la sérigraphie et repartez avec le vôtre
Dimanche 16 juin 2024 dès 13h30 : petit marché créateur.ices pour finir en beauté.
Une exposition qui fusionne l'art de l'illustration, du montage photo, de la photographie et de la sérigraphie pour vous offrir une expérience visuelle captivante. Plongez vers des horizons ensoleillés à travers une palette de couleurs éclatantes et des compositions innovantes. Des plages dorées aux couchers de soleil flamboyants, en passant par les rues animées des villes en période estivale, chaque œuvre vous convie à une immersion dans un univers débordant de chaleur et de lumière.
Fanny Modena jongle entre l'illustration, la BD et la sérigraphie. Installée à l’Usine Kugler, à Genève, son travail navigue dans les infinies possibilités de la couleur. Explorez son univers artistique où chaque trait raconte une histoire, où la couleur devient une aventure en soi. Plongez dans un monde imaginaire, et laissez-vous emporter par ses illustrations. Cette fascination pour la couleur a laissé sa marque pour sa première bande dessinée jeunesse, "Cocktail", publiée aux Editions Antipodes. petit.tyranillu https://www.fannymodena.com/
Samuel Robin, artiste aux multiples facettes, explore avec brio les subtilités de la photographie argentique et numérique, du montage photographique et du graphisme. Explorez avec lui sa vision unique du paysage urbain et balnéaire. Ses œuvres marient avec élégance l'énergie des villes à l'essence des rues, créant une symphonie visuelle où l'urbanité, la nature et la typographie s'entrelacent en parfaite harmonie. @samuel.roobin
EXPOSITION // INSTALLATION // PERFORMANCE
Ouvert les vendredis samedis et dimanches de 15h à 19h
JEUDI 2 MAI 2024
VERNISSAGE DE L'EXPOSITION IN LEAVES
18H30 - 20H30
Ibo Art est un artiste résidant à Genève depuis une trentaine d'années. Il évolue et travaille dans son atelier au sein de l'Ex Usine Kugler et expose ses œuvres dans toute la Suisse et à l'international. Il milite pour la protection de l'environnement et promeut un art du recyclage invitant à diminuer les déchets plastiques.
À l'occasion de son exposition personnelle "In Leaves" à l'Espace Kugler, Ibo Art offre une promenade au travers d'une forêt colorée. Pour réaliser ses créations artistiques, Ibo Art trouve son inspiration dans la nature, la mer, les fleurs et ses voyages. Avec ses installations végétales, ses compositions florales, ses peintures abstraites contemporaines et ses sculptures réalisées de divers matériaux, il crée un univers onirique dans lequel le public est invité à la contemplation.
PERFORMANCE PAINTING VENDREDI 17 MAI 2024
18H30 - 21H30
IBO ART organise une performance painting le vendredi 17 mai de 18h30 à 20h30 et à invité deux artistes musiciens, BOBBYSURROUND & MORENA HELMY SAXOPHONE LIVE
FINISSAGE DIMANCHE 19 MAI
15H30 - 17H00
ESPACE KUGLER
19 AVENUE DE LA JONCTION - 1205 GE
INSTAGRAM @ESPACE_KUGLER
Une exposition de photographies de Samuel Vorms
à l'Espace Kugler du 23 au 28 avril 2024 de 10h à 19h en présence de l'artiste
Vernissage le mercredi 24 avril 2024 de 18h à 22h
DJ SET, Mathieu Giraud
Entre art et science, Samuel Vorms a accompagné une expédition de l'Université de Genève en Islande, sur un volcan menaçant de se réveiller, Askja. Photographie, Volcanisme et recherche, l'artiste arpente les pentes du cratère de son regard.
Etudiant en master à l'École Nationale Supérieure de la Photographie d'Arles, il interroge par l'image un rapport à la géologie en tant que discipline ainsi que des phénomènes dont les échelles, de temps et de grandeur, nous dépassent largement. Son regard, entre Art et Science, propose une prise de recul sur la recherche en arpentant les reliefs du cratère d'un volcan loin dans les terres désertiques d'Islande, Askja
"Dans ce qui me semble aujourd’hui être une autre vie, avant de devenir photographe, j’ai étudié les Sciences de la Terre à l’Université de Genève. Par volonté de réunir ces deux pans de mon existence, j’ai décidé de recontacter Joël Ruch, un de mes anciens professeurs, en proposant de l’accompagner sur le terrain, cette fois-ci en tant que photographe. Entre Art, volcanisme et recherche, voici donc le récit de cette expédition loin à l’intérieur des terres désertiques de l’Islande, au cœur du cratère d’un gigantesque volcan menaçant de se réveiller, Askja." S.V.
VERNISSAGE VENDREDI 21 JUILLET 2023 - 18H
OUVERT : SAMEDI 22 JUILLET ET DU 25 AU 29 JUILLET DE 16H A 20H
Variations du langage
Pour cette exposition, je présente des exemples de mes expériences avec l'expressionnisme naïf et brut, ainsi que des langages géométriques modulaires. Mon idée est de rassembler une variété distincte dans un contexte mixte, offrant au public la possibilité de visualiser mes différentes inspirations.
La différence, la curiosité, la versatilité et l'intelligence qui se cachent derrière toutes ces formes visuelles m'ont inspirées à me connecter avec moi-même et avec l'art visuel. J'introduis également un personnage performatif et des objets multimédias bruts.
À travers cette exposition, je souhaite explorer les multiples facettes du langage artistique et inviter les spectatrices et les spectateurs à plonger dans un univers visuel riche en diversité et en émotions.
Sergio Gio
ESPACE KUGLER - 19 AVENUE DE LA JONCTION - 1205 GENEVE - WWW.ESPACEKUGLER.NET
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Vernissage le vendredi 17 mars à 18h, performance de l’artiste à 19h
Exposition du 17 au 26 mars 2023, ouvert les dimanches 19 et 26 mars de 14h à 18h et sur rendez-vous : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. . 079 336 78 79
Espace Kugler . Art contemporain . Avenue de la Jonction, 19 . 1205 Genève . www.espacekugler.net
La performance porte sur la manifestation des liens entre le mouvement et l'acte de peindre, entre le corps et l'esprit. Les empreintes résultent d'un corps en mouvement en constante transformation, que le mouvement soit continu ou à l'arrêt, marquant ainsi un certain temps de passage dans l'espace-temps.
Le déroulement de la performance commence avec un traçage au fusain créant une mise en place d'empreintes. À partir d'un ressenti ou d'une émotion laissant transparaître ce qui est manifesté par le corps, l'artiste peint.
L'acte de peindre est alors une danse visualisée par le mouvement du pinceau, propulsé par celui du corps. L'ensemble des lignes courbes en continu traversent l'espace dans différentes directions, créant un enchevêtrement sur toute la surface à peindre.
Ce projet est une expérimentation du processus de création qui fait appel à l'état de conscience, l'attention et l'écoute menant à la reconnexion à soi. L'artiste invite les spectatrices et spectateurs autour de l'action, au plus proche de ses perceptions du moment.
L'idée d'Empreintes fragmentées se rapporte aux couches successives superposées de l'évolution de l'oeuvre. Telles des strates des différentes transformations de l'être humain, qui s'additionnent au fil de la vie à travers ses états physique, physiologique et psychique.
Les oeuvres présentées lors de cette exposition de l'artiste Feriel Benalycherif sont autant de résultats différents du processus de ce mouvement de création.
L’espace kugler vous présente une exposition collective d’artistes de Kugler Est et de leurs invité.e.s
Probably Art .
Finissage le dimanche 18 décembre de 11h à 19h en présence de plusieurs artistes
Vernissage le dimanche 11 décembre de 11h à 19h
Ouvert le samedi 17 décembre de 11h à 19h
avec:
Josse Bailly @hiposhow
Olaf Berkhuijsen
Marisa Cornejo @marisacornejostudio
Akiyoshi Deschenaux https://akiyoshideschenaux.ch
Nelly Haliti http://www.nellyhaliti.ch
Kristina Irobalieva @kristinairobalieva
Elisa Lavergo http://www.vego.ch
Espace Kugler - art contemporain . 19, avenue de la Jonction . 1205 Genève
Open Space @espace_kugler Geneva
Apéro with participating artists
Lundi 19 septembre 2022 de 18h30 à 20h
Monday, the 19th of September, 2022 18:30-20:00
Espace Kugler
Av. de la Jonction 19, 1205 Genève
Contact: Kasia Grabska +41797364698 or Whatsapp: +48607970127
counters, reflections, and co-creation: exploring inspiration, motivation and artistic creation of artists engaged with themes of war, conflict, displacement and social (in)justice.
This is part of an Open Space of the INSPIRE project examining artistic inspiration, creative practice and imagination in the context of war, conflict, exile and oppression carried out by Kasia Grabska at the Peace Research Institute in Oslo. With visual artists Anna Konik and Marisa Cornejo, Kasia co-organizes an open space in Geneva at Utopiana and Espace Kugler (17-21 September 2022) with artists who have lived experiences of exile, displacement, violent conflict or political persecution and whose creative practice relates to these themes. Through their personal experiences and methodologies invited artists will create a hybrid, multi-layered perspective on the creative space of exile and political oppression.
Join us to meet and learn more about these fascinating artists, their personal and creative trajectories during an apéro at Espace Kugler on Monday, the 19th of September, 2022.
Participating artists:
- Stella Gaitano a prominent writer on the Sudanese Arabic literary scene. Her writing explores themes of departure, motherhood, loss, and grief in the context of war in South Sudan.
- Chuu Wai a free-spirited and committed artist whose work often centers around the role of women in Burma. Her artistic practice includes painting and performance art.
- Mithkal Alghazir a choreographer and dancer from Syria. His work and research focuses on the body as a concept of humanity, a space of awareness, of life, history, future, harmony, and peace, as well as a space for poetry, memory, and imagination.
- Aissa Deebi a Palestinian artist and scholar based in Geneva. Aissa Deebi is a practicing artist, curator, and writer. His practice deals with issues of art and politics, with an emphasis on cultural migration, diaspora, exile, postcolonialism, history. (Zawyeh Gallery) (VCU Arts)
- Pablo Gershanik an artist, actor, director and theater pedagogue from Argent0ina and France. By animating inanimate objects in live and mediated performance, he interrogates the precarities of history, memory and the everyday to explore resilience and healing from personal and collective trauma. (Website)
- Anna Konik an artist working with video installation and art films, combines video, photography, drawing, art objects and works in-situ with a strong space context. (Website)
- Luis Carlos Tovar a visual artist who circulates between France and Colombia, producing work that explores the topics of discontinuous geographies and the role of post-memory in the present. (Website)
- Marisa Cornejo a research artist in the fields of memory, identity and migration, produces work that centers around drawing her dreams to give voice to and interrogate her body as an archive of forced migration. (Website)
espace kugler
art contemporain
19, avenue de la jonction - 1205 Genève
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L’Espace Kugler participe à la 3e Biennale Interstellaire des espaces d'art de Genève,
SPACE BLANKET
du 28 - 30.06.19
au chantier des Charmilles: 110,rue de Lyon,
1203 Genève
horaire: vendredi: 18H–Minuit
Samedi: 10H–Minuit
Dimanche: 10H–22H
http://www.espacekugler.ch
http://libradio.org
https://www.facebook.com/serigraphieMADAME/
http://marisacornejo.com
https://soundcloud.com/st-phanie-prizreni
https://bigbiennale.ch
Une exposition de céramique contemporaine
Vernissage jeudi 16 mai 2019 à 18h
Du 16 au 19 mai 2019
Ouvert vendredi, samedi et dimanche de 14h à 19h
Chloé Peytermann investit l'espace Kugler avec ses maisons étranges, ses meubles-paysages et ses corps-horizons. Sa recherche autour de la sensation de paysage, de ligne d'horizon, se poursuit, les formes se complexifient, et l'étrangeté n'est jamais loin. Terre et émail sont les médiums de la densité, de la profondeur, et la jouissance de la couleur est là. Des formes qui jaillissent, poussent, fondent.
"Je trainais dans des losanges
Avec tous les alphabets de la Terre
Dans mes poches
Et j'écrivais sur les murs
Sur les portes cochères
Je collais de grosses lettres haletantes
Comme des crapauds
Des chiffres couleur d'épi
Claquant la pierre de leurs talons
J'avais un mal fou à tout dire aux maisons
Un mal de chien à les sortir de leur glaise."
Thierry Metz
1984
Imaginaires totémiques
Rewe esquizo -more geometrico -
Une exposition de Miguel D. Norambuena
Vernissage jeudi 13 decembre à 18h
Exposition du 13 au 23 decembre 2018
Horaires d'ouverture:
Dimanche de 13h a 18h
Lundi, mercredi et vendredi de 16h a 18h
ou sur RDV : message répondeur au 078 666 14 26
A la mémoire de Camilo Catrillanca, jeune paysan mapuche, 24 ans, assassiné à Temuco le 14 novembre par le « comando Jungla » mis en place par le gouvernement du président Piñera au Chili.
« À force de regarder les arbres, je suis devenu un arbre » […] « les arbres sont la vie ». Aimé Césaire. Devenir arbre, puis tronc et encore son, musique, production de rapport. À l’Altérité-Totem, à l’Altérité-Rewe, à l’Autre. Lier, joindre l’humain à l’humanité.
Une dimension anthropologique en régression, sans histoire, sans repères, sans passé. Voilà où nous en sommes avec notre modernité contemporaine trans-humaniste, anthropocène.
Mais il y a les résistances : le geste. L’effort et la main. L’effort de persévérer dans son être, dans sa multiplicité, sa singularité, son devenir. Le devenir artisan, la vie, ce que nous racontent la matière, les matériaux, leurs transformations et leurs mouvements.
Une installation : Métamorphoses totémiques, Soustractions intensives, photos de trois totems – Rewes mapuches – allusion à la création, mais aussi à la trilogie : eau, air, terre. Le tout accompagné d’une musique : le son des bois en œuvre et leur composition. Travail de Gianluca Ruggeri.
Des rewes mapuches : Ode à un Peuple. Travail minimal sur bois. Art-éco, signalétique. Manufacture des totems. Work in progress évoquant les coutumes, les cosmogonies, mais aussi la résistance mapuche. Résistances à un ethnocide du passé et du présent. Résistances d’autres peuples originaires. Miguel D. Norambuena . Genève 2018
Miguel D. Norambuena, chilien, en Suisse, Genève, depuis 1973. En 1976, rencontre à Paris avec le Dr. David Cooper (fondateur avec Ronald Laing de l'antipsychiatrie), qui l'initie au métier de « l'écoute thérapeutique ». Études en psychopa-thologie sociale EHESS, à Paris, puis travail psychanalytique avec Félix Guattari. Ancien directeur à Genève du Centre Le Racard, centre d'hébergement et lieu de vie avec appui psychosocial pour personnes souffrant de troubles graves de la personnalité. Séjour à Moscou, création du groupe Opéra, Hospital psychiatrique Balnitza n°4 de Moscú, Fondateur, 2014, du centre Le Dacar, Clinique du quotidien, Processus de sanation, Genève.
Publications diverses :
- Félix Guattari, Cartografias del deseo, Ed. Francisco Zegers, Santiago-du-Chili, 1989
- Hébergement d'urgence, et animation psychosociale, Le Ra-card ou renouer avec la vie, Ed. L'Harmattan, Paris, 1997. Préface de Michel Porret, postface Pierre Dominicé
- El devenir de la subjetividad, Felix Guattari, Ed. Dolmen, Santiago du Chili, 1998
- Le Racard, Une institution d'aide psychosociale, l'utopie au cœur du présent, Ed. L'Harmattan, Paris, 2001. Préface de Pierre Dominicé, Postface de Gérald de Rham.
- Viva Chile, adaptation pour théâtre-danse, Mise en scène par Thierry Jorand au Théâtre La Grenade,Genève, du 15 au 30 janvier 2002. Avec Thierry Jorand (théâtre) et Marcela San Pedro (danse)
- Traverses suivi de Feuillus, récit-poèmes, Ed. de la Tempres-se, Genève, 2003
- Viva Chile, deux textes pour la scène et poésie sonore, Ed. de la Tempresse, Genève, 2003
- L’instants d’un regard, entre parole et silence, portraits, Ed., La Baconnière, Genève, 2006.
- Otra Mirada sobre el desarrollo, Coleccion minilibros, Ed. Armonia, Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. , La Paz, 2006..
- Les aquarelles d’Ivrose, préface Jacques Hainard, post-scriptum Sylvain Thévoz, Ed. du Tricorne, Genève, 2008.
- De l’animation psychosociale à la clinique sociale, préface Olivier Mongin, postface Lucila Valente, Ed. L’Harmattan, Paris, 2010.
- Metamorphosis Totémiques, Soustractions Intensives, Instal-lation photographique et musique, CD, avec Gianluca Rug-gieri, Ed. Bickle, Santiago du Chili - Moscou, 2009.
Événements :
- « Performance, texte et mouvement », Récit-poèmes de Traverse et Feuillus, avec Pascale Vachoux, et Mara Vinadi, à la Galerie DIORAMA, Genève, septembre , 2003.
-Chemins de terre, Espace 2, Production, émission radio Jean-Marc Falcombello, 29 avril 2006, 55 min.
- « Les Maculatures » exposition, Hôpital Universitaire de Genève, HUG, du 19 mai au 10 septembre 2006
- Je t’aime beaucoup, performance, poésie sonore, danse, théâtre, Mise en scène de Marcela San Pedro, Villa Bernas-coni, Lancy, Genève, février, 789, 2007
Soustractions intensives, installation en bois, Exposition Art public, ArtGare, Gare de Cornavin, du 6 au 19 novembre 2006.
Moi-Je, mise en scène Margot Lopez, Thèâtre Alzedo, Lima, Peru, aôut, 2007.
Ode critique à la post-modernité et à l’art Conceptuel, Instal-lation/performance-danse : Marcela San Pedro, Lili Auderset, Le dernier printemps du Galpon, Genève, 2008
Metamorphosis Totemique Soustractions Intensives, Exposi-tion-Installation, Photos, sculptures en Bois, Miguel D. No-rambuena, musique, Gianluca Ruggeri, Galerie ULITZA OGI, Janvier, Moscou, 2010.
Prix littéraire :
- Deuxième prix de poésie, Concours littéraire 2002, Orphea, Commune de Meyrin, Genève.
- L’attention du jury, Prix poésie 2004, Société Genevoise des Ecrivains.
- Terra incognita, récit-poèmes, quelques extraits, Bulletin 2007, Fondation C.F. Ramuz, Ch-1009, Pully, 2007.
Exposition du 09.11. 2018 - 25.11.2018
Vernissage 09.11.2018 à 19:00 hrs
Artist Talk (en Anglais) 17.11. 2018 a 16:00 hrs
L’artiste palestinien Aissa Deebi en conversation avec Marisa Cornejo à l’Espace Kugler à Genève.
L’artiste palestinien Aissa Deebi et l’artiste / conservatrice Marisa Cornejo lancent un débat sur les thèmes liés au triptyque lieu d’origine - exil - art. “after sometime” est une conversation et une exposition de travaux choisis à partir de différents projets, notamment : This is how I Saw Gaza, war paintings, qui est issu de la perception de Deebi, géographiquement éloignée mais profondément ressentie, des 51 jours de l’attaque de Gaza en 2014. En suivant les nouvelles des frappes israéliennes sur Gaza depuis Genève, Deebi disait : “Je me sens effondré.” Il se sentait également “moralement obligé” d’y répondre.
Il a participé aux manifestations quotidiennes contre les attaques et a également commencé à produire des esquisses à l’encre des images de la télévision. Pour finir, il a transformé ces esquisses en peintures à l’huile en noir-et-blanc brillant. Ce projet a été exposé au cours de l’exposition Art Dubai 2018 et au Musée de la Palestine aux Etats-Unis.
The trail est une nouvelle édition d’impressions issues du travail de Deebi pour la 55ème biennale de Venise. Ce travail a été réalisé pour sa dernière exposition : Exile is Hard Work à l’Université de Birzeit en Palestine, et a été produit par le département de peinture et d’impression de la VCU, Etats-Unis, en collaboration avec le professeur Noah Simblist. The trail fera partie du Festival du film palestinien de Genève le 2 décembre 2018.
Pour plus de détails voir : https://palestine-fce.ch/programme/films-evenements/
A propos de l’artiste Aissa Deebi
Aissa Deebi est un artiste palestinien établi à Genève. Ses premiers travaux explorent la complexité des pratiques quotidiennes dans la Palestine de l’après-1948 : Days like this (Des Jours comme ça, 1997), Makkan (1998), My dream house (Ma Maison de rêve, 1999), Nothing is new only forgotten (Rien n’est nouveau jusqu’à ce que ce soit oublié, 2000). Ensuite, le travail de Deebi s’est attaché au thème de l’émigration et de l’aliénation, qui a culminé dans son travail de doctorat en menant une analyse critique de la diaspora comme espace de création. En parallèle avec son travail académique, Deebi a réalisé une série de travaux qui interrogent les phénomènes complexes de la migration culturelle et de la réalité de la diaspora au travers de l’expérience d’un artiste-immigrant adulte palestinien dans l’Amérique de l’après-11 septembre 2001 : Killing time (Tuer le temps, 2004), Naked Heroes (Les Héros nus, 2003), Dead Sweet (Sucré à mort, 2004), Tal El Samak (2011), The Trail (La Piste, 2013), Motherland (Le Pays natal, 2016), Exile is Hard work (l’Exil est un travail pénible, 2016-2017), This is how I saw Gaza (C’est ainsi que j’ai vu Gaza, 2017).
Deebi a occupé de nombreux postes importants d’enseignement de l’art et du design dans plusieurs institutions, notamment la « Winchester School of Art » et l’Université de Southampton au Royaume-Uni, le « Centro de Estudios Superiores de Diseño » de Monterrey, Mexique, l’Université Chulalongkorn, Bangkok, Thaïlande, l’Université Américaine du Caire, Egypte, la « Montclair State University », et Deebi est actuellement lecteur invité d’Art Contemporain à l’Université du Moyen-Orient l’Université de la ville de Birmingham au Royaume-Uni.
Ses travaux ont été exposés sur la scène internationale, notamment Art Dubai, la « Palestinian Art Court – Al Hoash », Jérusalem, le musée de l’Université de Birzeit, Palestine, la Biennale Çanakkale, Turquie, la Kunsthalle d’Osnabrück en Allemagne, la 55ème Biennale de Venise en Italie, l’Art Lab Gnesta en Suède, le « Berlin Art Laboratory », Allemagne, l’Art Space Gallery à l’Université Sang Myung, Séoul, Corée du Sud, Darb 1718, Le Caire, Egypte, Kunstverein, Allemagne, le « Queens Museum of Art », New York, Etats-Unis, « Haus am Lutzowplatz », Berlin, Allemagne, la Tanit Art Gallery, Liban, la « Beirut Art Fair », Liban, la Triennale Asie-Pacifique à Taipei, Taiwan, et la VCU Art Gallery au Qatar.
A propos de la conservatrice Marisa Cornejo
Marisa Cornejo est une artiste établie à la fois en Suisse et en France. Elle est titulaire d’une licence en Arts Visuels de l’UNAM, Mexique et d’un Master de la CCC, HEAD, Genève, Suisse. Marisa Cornejo est née à Santiago du Chili en 1971 d’où sa famille s’est exilée après le coup d’état de septembre 1973 pour vivre en Argentine en 1973-76, puis en Bulgarie en 1977-78, en Belgique en 1978-80, et enfin au Mexique en 1980-1988 où elle a étudié la danse et les arts visuels et a collaboré au collectif d’art contemporain La Panadería à Mexico. En 1998, elle s’est établie en Angleterre où elle est devenue mère puis en 2002 à Bruxelles. Depuis 2005 elle vit à dans la région Genevoise où elle travaille sur les thèmes de la mémoire, de la migration forcée et la réparation du traumatisme du terrorisme d'etat a travers le dessin de ses rêves, en tant qu’artiste-chercheur.
Heures d’ouverture:
Jeudi 17.00 à 20.00
Mardi-Vendredi 13.00 à 16.00
Samedi-Dimanche 15.00 à 17.00
Finissage 25 novembre.2018
12.00 à 16:00
espace kugler
art contemporain
19, avenue de la Jonction
1205 Genève
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Transport:
Tram N° 14
Bus N°11 Arret Jonction
Links:
https://www.reuters.com/article/us-dubai-art/oasis-of-calm-in-shattered-region-dubai-steps-out-as-art-hub-idUSKBN1GY1TP
https://www.artsy.net/artist/aissa-deebi
https://www.youtube.com/watch?v=C1_Y_DdGjYc&t=95s
COSMOS
Une exposition de Trystan Matthey
Vernissage le 30 novembre 2018 à 18h
âge conseillé : 16 ans
Lecture d’extraits du livre de l’artiste « les métamorphoses » par Bessa Myftiu à 18h30
Exposition 30 novembre au 9 décembre 2018
Ouvert tous les jours de 12h à 18h
Commissaire de l’exposition, Stéphanie Prizreni
Le livre Métamorphoses de Trystan Matthey sera en vente pour la première fois durant le vernissage de l’exposition Cosmos, le vendredi 30 Novembre 2018 à 18h à l’Espace Kugler et jusqu’au 9 décembre. A 18h30, durant le vernissage, une lecture de Bessa Myftiu prendra place dans le garage19, annexe de l’Espace Kugler.
« A travers ses Métamorphoses, Trystan Matthey nous entraîne dans son univers magique d’êtres ambigus, de rencontres fatales et de transformations surprenantes. Ni rêves d’enfant ni cauchemars d’adulte, ses récits fascinent par leur précision, leur finesse et leur originalité.
Grâce à un style épuré, l’auteur peint en paroles sa cosmogonie, habitée souvent d’une dimension philosophique. Parfois angoissants, rarement comiques, ses textes et dessins revendiquent le désir de ne pas appartenir à une catégorie, le droit de changer et l’aspiration d’être soi. »
Texte de présentation du livre par l’éditeur.
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Mon travail est consacré à une altération de la géographie urbaine «Cosmos» peut désigner l'univers, mot source de cosmogonie, la création d'un nouveau monde. Dans cette exposition vous découvrirez un monde qui m'est propre. Habité par le fantastique, les métamorphoses et les expériences d'extranéation."
« J’essaie actuellement de créer une relation fictive entre mon propre art et celui de mon alter-ego, mon personnage drag appelé MOON qui est aussi une artiste. MOON produit ses costumes qu’elle porte durant ses soirées et elle fait aussi des performances.
Pour garder une trace de tout cela, j’écris actuellement une anthologie d’histoires courtes fictives, créant un monde qui est mien où mes étranges enfants peuvent vivre comme ils le souhaitent. Inspiré par les artistes qui créent leur propre cosmogonie, j’essaie de créer de nouvelles créatures, personnages, êtres, monstres et d’imaginer les lieux et les mondes alternatifs dans lesquels ils vivent. Mon travail se situe dans l’entre-deux de la réalité et de la fiction et j’aime construire chaque personnages en imaginant leur propre identité, leur sexualité et leur façon d’interagir les uns avec les autres. Cette recherche d’espaces utopiques est mon approche personnelle de l’art à partir d’un arrière-plan queer. »
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Trystan Matthey, artiste suisse de 27 ans, diplomé d’un Master à la Haute Ecole d’Art et de Design de Genève (HEAD). Après l’obtention de son diplome, il performe dans plusieurs événements en tant que son alter-ego drag queen MOON et il collabore par la suite avec plusieurs artistes pour des expositions. Au début 2018, il fait une résidence d’artiste à Reykjavik.Sa pratique interdisciplinaire évolue entre dessins, peintures, vidéos et création de marionnettes. Son travail est une recherche de métamorphose de sa vie de jeune artiste le jour, et de drag queen la nuit.
Artleaks
Une exposition de Marisa Cornejo
à l’Espace Kugler du 5 au 21 octobre 2018
Vernissage le vendredi 5 octobre à 18h
L’exposition est ouverte du mercredi à dimanche de 16h a 19h
A l’occasion des ateliers portes-ouvertes Open Kugler, l’exposition sera ouverte samedi 6 et dimanche 7 octobre de 14h à 19h
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Lorsqu’on a le besoin de couler comme l’eau pour remplir les vides creusés par l’incertitude, l’art et l’artiste deviennent des phares.
Cette exposition est guidée par des œuvres d’artistes que Marisa Cornejo a accumulée et conservée tout au long de sa vie et qui représentent différentes époques et contextes. Des œuvres qui ont enrichi son travail et qui seront mises en relation avec le travail de l’artiste.
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In times when we need to flow like water to fullfill the gaps of uncertainty art and artist become light houses.
This exhibition is guided by some art pieces Marisa Cornejo has collected or exchanged during her lifetime in various context and countries. The exhibited works nourished her practice and will be put into dialogue with art works of Marisa Cornejo.
www.marisacornejo.com
Artists / Artistes :
Antonio Alvarez, Artemio, Omar Ba, Eugenio Cornejo, Esue Ega, Daniel Guzmán, Thomas Hirschhorn, Mara Krastina, Keith Miller, Daniela Rossell, Mireia Sallarès, Thomas Schunke, Francisco Sepúlveda, Eric Winarto
Artemio, No title, plastic grass on canvas, 20x20 cm, 1998
GLITCH:
ça glisse
ça glace
le vent tourne
Exposition MARIA BILL
///Vernissage:
samedi 15.09.2018 dès 18h
///Exposition:
13 au 29 septembre 2018
///Entretien avec l’artiste: dimanche 23.09 à 16h30
Heures d’ouvertures: jeudi au dimanche de 16h à 19h
et sur rendez-vous au 076 3204904 ou à Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Cette exposition existe dans la continuité d’un travail formel et symbolique sur l’altération d’un univers urbain. De cette altération émergent de nouveaux agrégats, des fragments, des structures et des histoires.
Ici, la proposition envisage un glissement, un affaissement du terrain, libérant des morceaux d’entités qui, autonomes, changent d’état, voyagent et se fixent ailleurs.
Ces corps flottants évoquent la dualité des mondes : les terres truquées, doubles, immergées et submergées.
Une ligne de flottaison ténue.
Une forme de malléabilité, de fragilité des colosses peut être perçue - le grouillement et le tumulte intérieur des masses. La force des chemins et des traits creusent la roche, la glace. L’éphémère, la reformation ou la refonte constante des mondes est révélée.
Yannick Lambelet
Résidence d’artiste et exposition évolutive
Du vendredi 13 au dimanche 29 juillet 2018
Vernissage le samedi 14 juillet 2018 à 19h
"Epecuén est une ville située dans la province de Buenos Aires, en Argentine, au bord du lac éponyme. Suite à de forte pluie, le niveau du lac augmenta et la ville fut submergée entre 1985 et 1993.
Zanarkand est une ancienne métropole se trouvant au nord de Spira dans Final Fantasy X qui fut détruite par Sin il y a plus d'un millénaire.
Toutes deux ne sont plus que des ruines aujourd'hui.
Epecuén fut touristique avant sa destruction, grâce à son attractivité thermale dû à la salinité de son lac. Et Zanarkand fut touristique bien après sa destruction.
J'ai eu la chance de visiter ces deux lieux, d'y déambuler dans leurs vestiges architecturaux, de m'y faire attaquer par différentes espèces animales, et surtout de me confronter à la beauté de la solitude.
From Zanarkand to Epecuén est le résultat expérimental des mes voyages spatio-temporel à la recherche de l'amour.
Je dédicace cette exposition à Wakka et Lulo."
L’artiste vous donne rdv à l’espace kugler du jeudi au dimanche de 15h à 18h et sur rdv au 076 822 00 83 Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Yannick Lambelet est un artiste suisse né en 1986 in Yverdon-les Bains, CH. Il vit et travaille à La Chaux-de-Fonds (Suisse). Il est diplômé de l’ECAL (ECAL / Haute école d’Art et de Design, Lausanne, CH) Master of Arts en Arts visuels, avec orientation European Art Ensemble. Il a reçu plusieurs prix, dont le Network cultural Prize en 2018, la residence CVC/SKK à Buenos Aires offerte par la ville de la Chaux-de-Fonds en 2016 et la résidence de la Cité des arts à Paris offerte par le canton de Neuchâtel en 2012.
YANN_LAMBELET_PORTFOLIO_2017.pdf
Second edition
Présentée par Marisa Cornejo, artiste
Espace Kugler, jeudi 5 juillet 2018 à 19h
Conférence à 20h
Du 8 au 10 mars 2018 a eu lieu le 1er Congrès politique, artistique, sportif et culturel International de Femmes qui luttent dans le territoire zapatiste, spécifiquement dans le Caracol IV Morelia, il s’agit du 1er congrès international du mouvement indépendant des femmes zapatistes en lutte contre le néolibéralisme.
L’artiste Marisa Cornejo qui a participé à cet événement présentera lors de cette conférence à l’Espace Kugler, le programme du congrès, son déroulement, les expériences de vie collective avec les autres participantes, les ateliers de réflexions, les rencontres importantes, ainsi que le discours prononcé par les femmes zapatistes à toutes les femmes du monde le 8 mars à l’ouverture du congrès, intitulé "UNE FORÊT DE FEMMES". Marisa témoignera de son expérience personnelle au travers de photographies et de vidéos, une archive qu’elle a réalisée sur place. THE AGREEMENT . Marisa Cornejo http://marisacornejo.com/the-agreement/
Lors de sa participation, Marisa a aussi fait une petite action artistique pour nourrir la mémoire de résistance au néo-colonialisme du continent Latino Américain et elle montrera le matériel de cette performance en conclusion de conférence.
Buvette sur place, en soutien à la programmation.
Avec l'aimable participation d'Emmanuel Deonna
Stéphanie Prizreni, commissaire de l’événement
Assistant.e ; Victoria Prouteau
Article paru dans le Journal Le Courrier le 4 juillet 2018
|ARBORETUM| revient pour une cinquième édition qui sent bon l'été et les sorbets poire ! Un grand merci à l’Espace Kugler qui nous accueille dans son antre merveilleuse.
Imaginons un espace, un espace dédié, le temps d'une après-midi, à l'expérimentation performative, un espace tel un abri où découvrir, thé glacé dans une main, tarte aux poires dans l'autre, des processus de création.
L'espace étant cosy cosy et réduit, merci d'annoncer votre éventuelle présence. ♥
Entrée prix-libre
>> À apporter avec vous <<
Un coussin
Un contenant pour trinquer ! Soyons malins, évitons le plastique :-)
On se réjouit beaucoup beaucoup de vous y rencontrer !
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CRÉATION
|ARBORETUM| est un concept né durant l'été 2017 d'influences hétérogènes.
Éloi Calame, musicien, poursuit actuellement des études à Copenhague. Après un semestre à Amsterdam, il souhaitait (re)créer un espace à Genève au sein duquel peuvent se retrouver des artistes, principalement des musiciens, afin qu'ils puissent présenter leurs travaux en cours, leurs compositions, et surtout échanger au sein de micro réseaux ponctuels.
Cassiane Pfund, termine un master en philosophie. Elle découvre à Montréal des espaces qui accueillent des événements pluridisciplinaires et accordent une place de choix à la performance littéraire. De retour à Genève, elle souhaitait perpétuer une forme similaire qui permette de favoriser la création et de rassembler des médiums a priori séparés.
C'est donc Très naturellement qu'une même envie de joindre des arts différents, liés par leur dimension performative, a pris forme.
LE CONCEPT
|ARBORETUM| est un espace consacré à la culture expérimentale qui émerge le temps d’une après-midi. La lumière étant préférée aux alentours de 17:00, il convient néanmoins de prendre en considération L'heure d'été et l'heure d'hiver : Une culture flexible étant d'avantage appréciée. La culture se veut diversifiée : musique, performance littéraire, poésie sonore, danse, performance, courts-métrages, arts visuels, installation ; l'expérimentation étant le mot d'ordre de ce laboratoire vivant.
Si les plantes s'épanouissent mieux lorsqu'elles sont respectées, soignées avec bienveillance et considérées à leur juste valeur, il en va de même pour les artistes et le public qui se réunissent. Il est important que l'atmosphère demeure chaleureuse et douce. Il en va du bon déroulement des événements, de la réception des créations et/ou processus de création proposés, ainsi que de la qualité d'écoute et d'attention portée aux différentes propositions.
Présentée par Marisa Cornejo, artiste Espace Kugler,
vendredi 15 juin 2018 à 18h Conférence à 19h
Du 8 au 10 mars 2018 a eu lieu le 1er Congrès politique, artistique, sportif et culturel International de Femmes qui luttent dans le territoire zapatiste, spécifiquement dans le Caracol IV Morelia, il s’agit du 1er congrès international du mouvement indépendant des femmes zapatistes en lutte contre le néolibéralisme.
L’artiste Marisa Cornejo qui a participé à cet événement présentera lors de cette conférence à l’Espace Kugler, le programme du congrès, son déroulement, les expériences de vie collective avec les autres participantes, les ateliers de réflexions, les rencontres importantes, ainsi que le discours prononcé par les femmes zapatistes à toutes les femmes du monde le 8 mars à l’ouverture du congrès, intitulé "UNE FORÊT DE FEMMES". Marisa témoignera de son expérience personnelle au travers de photographies et de vidéos, une archive qu’elle a réalisée sur place.
THE AGREEMENT
Marisa Cornejo
Lors de sa participation, Marisa a aussi fait une petite action artistique pour nourrir la mémoire de résistance au néo-colonialisme du continent Latino Américain et elle montrera le matériel de cette performance en conclusion de conférence.
Buvette et petite restauration sur place, en soutien à la programmation.
Stéphanie Prizreni, commissaire de l’événement
Assistant.e ; Victoria Prouteau et Alejandro Silva
Vernissage le vendredi 19 janvier 2018 à 18h
Exposition du 19 au 28 janvier 2018
ouverte tous les jours de 12h à 18h sauf le mardi
What is Urbanart Doing at This Time?
Urbanartaunoir - ce personnage créé par Luis Pinoleo, comme le héros Bernardo del Carpio le fut par Don Quijote de la Mancha- est en plein processus d'application d'une formule alchimique.
Que fait-il? Il répond à la demande du public qui souhaite voir le monde en "couleur or".
Vu le peu de pouvoir dont bénéficie Urbanart, cet anti-héro, il n'a réussi à transformer que quelques objets fétiches de l'histoire, de légendes ainsi que peut-être quelques objets véritables.
L'alchimie, en tant que processus de transformation magique, n'a jamais disparu ni perdu sa véritable essence et aujourd'hui - plus que jamais - notre société poursuit une quête frénétique d'un monde doré, d'une société plaquée or. Le contraire d'une société platonique ou d'une utopie dans laquelle sont appliquées des idées politiques mensongères. La couleur du jardin d'Eden n'a jamais été l'or, ce jardin n'a jamais été une utopie, ce fut le lieu de la tentation, le lieu du désir pour les choses ne nous étant pas destinées. Et toutes les scénographies tragi-comiques couleur or de ce jardin ne furent que de fausses représentations d'un mythe ou d'une légende provoquant la mort d'un grand nombre afin que d'autres puissent bénéficier de la couleur or.
Espace Kugler - art contemporain
19, avenue de la Jonction
1205 Genève - www.espacekugler.ch
WORKSHOP
Atelier enfants-ados de 14h30 à 17h30
Samedi 4 novembre 2017
à l’Espace Kugler
Atelier créatif et artistique inspiré de l’iconographie traditionnelle de la célèbre fête des morts mexicaine
« El Dia de Los Muertos ».
- Place limitée, à partir de 8 ans
- Inscription par email : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
- Prix de l’inscription par enfant et par après-midi : CHF 25.-
- Matériel et goûter inclus
- Inscription obligatoire jusqu’au vendredi 3 nov. 20h
Workshop créatif et artistique proposé par Marisa & Stéphanie, artistes diplômées des Ecoles des Beaux Arts et commissaires des expositons à l’Espace Kugler.
studio rebat et Espace Kugler présentent
Chiara Bertini et Janis Lew
le métier de vivre
Vernissage le mercredi 15 novembre dès 18h
Du mercredi 15 au dimanche 19 novembre 2017
Projection vidéo toutes les heures :
Mercredi 15, jeudi 16 et vendredi 17 novembre entre 18h et 21h
Samedi 18 et dimanche 19 novembre entre 15h et 20h
L'exposition Le métier de vivre raconte les histoires de deux hommes sages-femmes à Genève.
Lors de conflits dans leur pays d'origine (Burundi et Iran), les deux hommes se sont réfugiés en Suisse
où ils sont devenus les premiers hommes travaillant en tant que sage-femme.
A travers les parcours de ces deux personnes, l’exposition essaie de mettre en question la bipolarité homme-femme,
noir-blanc, nord-sud ou encore étranger-natif.
Samedi 28 octobre 2017
Uniquement le samedi, le dimanche est annulé
Atelier enfants-ados de 14h30 à 17h30
- Atelier créatif et artistique inspiré de l’iconographie traditionnelle de la célèbre fête des morts mexicaine « Dia de Los Muertos ».
- Place limitée, à partir de 8 ans
- Inscription par email : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
- Prix de l’inscription par enfant et par après-midi : CHF 25.-
- Matériel et goûter inclus
- Inscription obligatoire jusqu’au vendredi 27 octobre à 17h au plus tard
Vous trouverez également vente sur place ^_^
- Livres d’occasion pour enfants
- Empanadas
- Pâtisseries
- Boissons chaudes ou froides
Atelier créatif et artistique proposé par Marisa & Stéphanie, artistes diplômées des Ecoles des Beaux Arts et commissaires des expositons à l’Espace Kugler.
espace kugler
art contemporain
19, avenue de la jonction - 1205 Genève
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Céline Mazzon et Manouche Vallet
In between
Exposition du 14 au 22 octobre 2017
Vernissage vendredi 13 octobre dès 18h
Ouvert le jeudi et vendredi de 14h à 18h
Week-end du 14 et 15 octobre de 12h à 19h, portes ouvertes Usine Kugler
Week-end du 21 et 22 octobre de 14h à 18h
Et sur rendez-vous :
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Comme point de départ de leur exposition collective, Manouche Vallet et Céline Mazzon observent les particularités de l’espace Kugler pour les mettre en écho avec leur travail artistique.
Vitrine de l’ancienne usine de robinets Kugler, cet espace, aujourd’hui transformé en galerie d’art contemporain continue de se dévoiler spontanément à la rue. Sa paroi vitrée munie d’une grande porte mal isolée permet, hormis le visiteur, à l’eau, aux sons et aux courants d’air de s’infiltrer. Sa perméabilité prête au lieu un aspect de sas, d’entre-deux.
C’est précisément ce caractère de frontières indécises entre intérieur et extérieur qui interpelle les deux artistes dans leurs démarches respectives.
Céline Mazzon enduit les vitres de vaseline et grave des dessins sur des plaques de verre. A l’aide d’un graveur électrique, un peu à la manière du tatoueur, elle empreint le verre, en répétant les passages selon la force d’apparition du dessin. Des figures animalières émergent et disparaissent, à la fois captives de leur support et se dérobant en même temps à la vue de celui qui tente de les fixer.
Manouche Vallet lave des parties de bâtiments noircis par la pollution dans sa rue de résidence au centre ville. Elle prélève et collecte l’eau souillée qu’elle ramène ensuite dans son atelier pour la réinvestir sous différentes formes. Aquarelles sur papier, fresques murales sont composées avec la matière soustraite sur les murs de la rue et forment la trace positive de leur pendant négatif. Par son action de lavage elle révèle et questionne également une réalité écologique, accueille les réactions des passants et sort de sa démarche habituelle du dessin.
Manouche Vallet et Céline Mazzon partagent un espace de travail depuis plusieurs années à l’Usine Kugler et sont engagées toutes les deux dans un travail autour du dessin et de l’installation.
“It's just a matter of time”
En coopération avec Bertrand Candas
Exposition du 9 au 24 septembre 2017
Vernissage le vendredi 8 septembre 2017 dès 18h
Exposition ouverte du jeudi au dimanche de 14h à 19h et sur rendez-vous les mardis et mercredis : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. et Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
« Dans l’infinité du temps, de la matière, de l’espace, une cellule organique se forme, se soutient un moment, et crève... Cette cellule, c’est moi. » from: Anna Karenina, Leo Tolstoy
L'exposition aborde le thème de la mémoire, du temps et de la perception. En opposant différentes structures, à différentes échelles temporelles, on s'aperçoit que notre perception du temps dépend de notre point de référence. L’installation comprend deux parties où l'on retrouve différents types de mémoire et différents processus de mémorisation.
D'un côté la mémoire sensorielle avec la chambre à brouillard et ses formes éphémères générées dynamiquement et de l'autre la mémoire à long terme avec des sculptures inspirées des structures biologiques et d'empreintes de mains.
Les formes éphémères dans cette exposition sont inspirées de recherches effectuées au CERN à Genève. Les objets sculptés à la façon des réseaux de neurones révèlent les similitudes de structures que l'on retrouve dans la nature.
Ewa Wesolowska allie son savoir faire traditionnel de sculptrice avec les nouvelles technologies. En associant des éléments sculptés ou des objets ayant la trace du temps avec de l’interactivité et des projections de lumière, elle explore différentes façons de mémoriser et ainsi qu’elle est notre perception de la mémoire et du temps.
C’est aussi la trace d’une présence, le désir de sauver un « instant de vie » qui montre l’on ne peut rien vraiment préserver du souvenir.
Plus on essaie de garder la trace d’un événement et plus on en montre l’absence.
Plus que le résultat, c’est prendre conscience du processus qui est essentiel.
espace kugler - art contemporain
19, avenue de la jonction - 1205 Genève - www.espacekugler.ch
Invités : Jérôme Bischel (artiste), Marisa Cornejo (artiste), Bernarda Labarca (psychologue), Hélène Leblanc (chercheuse en littérature italienne), Miguel D. Norambuena (schizoanalyste), Luis Pinoleo (artiste), Stéphanie Prizreni (artiste), William Riceputi (libradio.org), Janis Schroeder (artiste), Eric Winarto (artiste).
L’installation participative de La Divine Comédie, Genève 2017 propose une interprétation collective de l’œuvre de Dante Alighieri au regard de notre société occidentale et postindustrielle. Sont approchées ici les problématiques liées à la nature, la migration, l’écologie, la philosophie, l’art et la création.
Le voyage de Dante à travers les trois règnes supraterrestres – L’Enfer, Le Purgatoire, Le Paradis – constituant 3 axes thématiques majeurs :
– La vie après la mort ; monde supraterrestre, spiritualité, cercle de vie, animisme, esprit, subconscient, rêve, psychologie.
– La relation de l’homme avec la terre et avec le souterrain ; extraction, exploitation des ressources naturelles et des êtres humains, permaculture, écologie, écosophie.
– La traversée ; porte, seuil, migration, marche, voyage, exile, langue, traduction, communication.
Dans un esprit transdisciplinaire, nous organisons un laboratoire réflexif sur ce texte au travers d’un atelier artistique et de rencontres sous forme de table-ronde et de discussion. Le public sera également invité à choisir des extraits de La Divine Comédie qu’il pourra illustrer (crayon, craie, encre et aquarelle) afin de créer une grande fresque commune.
Durant les 3 jours à BIG, au container de l’espace kugler :
A découvrir au container de l’espace kugler
– 2 installations vidéos sur le thème de la DIVINE COMEDIE de Marisa Cornejo, Stéphanie Prizreni et Janis Schröder
– Oeuvre de Jérôme Bichsel, Perma-Love-Culture
– Présence de libradio.org web-radio mobile et en[g/r]agée /
Vendredi 16 juin
De 19h30 à 23h30, atelier dessin autour du thème de LA DIVINE COMEDIE avec Marisa Cornejo, Stéphanie Prizreni et Janis Schröder
Dès 20h30 Performance, arrivée de l’oeuvre Perma-Love-Culture de Jérôme Bichsel au container de Espace Kugler
Samedi 17 juin
De 11h à 13h atelier dessin autour du thème de LA DIVINE COMEDIE avec Marisa Cornejo & Stéphanie Prizreni
De 15h à 22h atelier dessin autour du thème de LA DIVINE COMEDIE avec Marisa Cornejo & Stéphanie Prizreni
Dimanche 18 juin
De 11h à 13h atelier dessin autour du thème de LA DIVINE COMEDIE avec Marisa Cornejo, Stéphanie Prizreni et Janis Schröder
14h – 15h30 Table Ronde autour de la Divine Comédie
Avec Hélène Leblanc, Eric Winarto, Maria, Janis, William, Stéphanie, Jérome… et qui?
De 16h à 18h : atelier dessin autour du thème de LA DIVINE COMEDIE avec Marisa Cornejo & Stéphanie Prizreni
18h à 19h : Concert performatif de PARASITE SANS S !!!!
PARASITE SANS S
Nel mezzo del cammin di nostra vita
La musique de PARASITE SANS S qui sera improvisée lors du BIG Festival, trace la cartographie des émotions de la "Divine Comédie". Elle se veut lunaire, mais triomphante, entre le bourdon et les plumes. Tantôt elle nous glace le sang, tantôt elle rassure, mais jamais elle ne suit le tracé balisé du fil de la lecture. Sciemment elle cherche les broussailles électriques et les pas qui déraillent. Ses atmosphères chamaniques se perdent avec délice dans des expérimentations qui recyclent l’or du cheveu, le noir de la pupille, le rouge des lèvres, alors qu'autours tournent les 9 cieux de Dante.
"A la moitié du chemin de notre vie" les mots de l'enfer, du purgatoire et du paradis se croisent un pied dans le passé, l’autre dans le présent, le troisième dans l’ultra-futur...
Alexandra Bellon: percussions & voix
Anna Benzakoun: clavier & voix
Marie Mercier: clarinettes & voix
Une étude sur le corps multidimensionnelle de la douleur
Cecilia Donaggio Luzzatto-Fegiz
Vernissage le 28 avril dès 18h
Exposition du 29 avril au 14 mai 2017
Pain-Box expérimente grâce à son interface graphique projetée sur l'écran le caractère unique de l’expérience de la douleur de chaque individu. Au moyen d'un software, toutes ces informations sont recueillies par l'interaction de Pain-Box et trace ensuite une carte collective de la douleur. Ces données visuelles sont compilées et analysées pour tenter d’identifier les origines et les domaines de la douleur qui caractérisent notre société.
Pain-Box - https://www.facebook.com/ThePainBox/ et https://vimeo.com/206910543 Collaboration technique: Max Jurcev : conception mécanique, électronique et programmation Collaboration artistique: Elisa(Betta) Porro, performance designer et Max Jurcev, composition sonore Avec le soutien de: Carlo Fonda – physicien - scifablab (International Centre for Theoretical Physics) et Federico Deganis – ingénieur - avis scientifiques et mise en œuvre
Horaires d’ouvertures : Les samedi 29 avril et 6 mai de 14h a 18h Lundi 8 mai de 14h à 18h I Mardi 9 mai de 18h à 20h Mercredi 10 mai de 12h à 14h I Jeudi 11 mai de 18h à 20h I Vendredi 12 mai de 14h à 18h ou sur rdv au +41 (0)76 228 00 22 ou +41 (0)78 632 26 45
«Bientôt la fin de l’hiver»
Vernissage le vendredi 17 mars 2017 à 18h
Exposition du 18 mars au 2 avril 2017
Ouvert vendredi de 17h à 19h et samedi et dimanche de 14h à 19h
et sur rdv : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. ou Olaf au 076 237 46 42
Cette exposition « Bientôt la fin de l’hiver » représente une bonne occasion de montrer de nouveaux travaux (peintures à l’huile, petites installations) dont certains sont restés inachevés pendant plusieurs années. Par ces créations, je cherche à présenter des sujets en rapport à ce que je vois dans mon entourage, dans les médias et tout ce qui me préoccupe et pouvant intéresser autrui.
Parmi les thèmes récurrents figurent la représentation géographique de la planète. Les cartes du globe sont présentes dans notre quotidien (dans les publicités, au téléjournal, à la météo…) et apportent une multitude d’informations sur le monde lui-même.
D’autre part, je cherche à montrer la place de l’Humain dans nos sociétés, en représentant des hommes d’affaires, des migrants, des amis posant sur une photo de groupe ou moi-même. Dans ces peintures, je cherche à représenter la dureté du monde des affaires ; le sentiment d’exclusion que peuvent ressentir les gens d’ici ou venus d’ailleurs, malgré toutes les formes d’espoir qui subsistent.
Olaf Berkhuijsen, né en 1971, artiste à l’Usine Kugler depuis 2007.
Espace Kugler - art contemporain
19, avenue de la Jonction
1205 Genève - www.espacekugler.ch
espace kugler
art contemporain
19, avenue de la jonction - 1205 Genève
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Les Ruines Circulaires
Une exposition de Cristina Da Silva
Vernissage 25 novembre 2016 à 18h
Exposition du samedi 26 novembre au dimanche 4 décembre 2016
Ouvert du jeudi au dimanche 15h-19h et sur rdv : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. ou Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Date du finissage : dimanche 4 décembre dès 11h
L’exposition Les Ruines Circulaires est l’occasion de présenter le DVD qui rassemble, sous le titre Les Ruines Circulaires, deux vidéos, un film et un vidéorama.
Ces deux pièces vidéos ont été réalisées à la suite d’un séjour de six mois effectué en 2010 à Bucarest.
L’exposition regroupe également une série de photographies captées lors de ce voyage.
Cristina Da Silva propose ici une perception personnelle d’une ville à la morphologie multiple. L’espace se transforme et prend corps au gré des changements urbains. Les brèches – terrains vagues, chantiers, espaces à l’identité indéfinie, zones « interstitielles » - s’habitent, s’activent au fur et à mesure que le regard se déploie, guidé par leurs habitants : chiens errants, cueilleurs, ouvriers, passants et passagers, joueurs d’échecs…
A l‘occasion du vernissage: Mitch & Dogs, dégustation de mititei, spécialité roumaine, BBQ www.cristina-da-silva.ch
Image extraite de la vidéo Les Ruines Circulaires, 23’30’’, Cristina Da Silva, 2016 avec le soutien de la République et Canton de Genève
Vernissage le 12 novembre dès 17h30
Exposition du 13 au 20 novembre 2016 de 17h30 – 19h30 et sur rendez-vous au 076 223 59 51
Les plages accueillent avec les coquilles, les linceuls vomis par la mer.
Morts, leurs existences se révèlent une fois ensevelies, un peu à la façon des œuvres emballées de Christo. Ces toiles de lin sculpturales prennent la forme de leur contenant.
Recouvert et découvert, dedans et dehors se fondent, le fond trouve sa forme.
Les suaires dévoilent la forme de leurs corps, comme les sépultures pyramidales conservent le corps du roi, leurs enveloppes sont protégées par ces escaliers qui nous mènent on ne sait où.
Les linceuls se muent en cocon, les défunts reposent en chrysalides, déclarant ainsi leur humanité, aspirant à se déployer.
Evénement également ce soir du 12 novembre avec VISARTE.FONCE pour une exposition anniversaire à l'occasion des 150 ans de visarte.suisse au Garage19 de Kugler (information plus bas)
Samedi 12 novembre 2016
Vernissage à 17h30
USINE KUGLER
avec Maria Bill, Hadrien Dussoix, Thierry Feuz, Renée Furrer, Philippe Fretz, Yann Haeberlin, Christian Humbert-Droz, Alexandra Maurer, Maël Madouri, Guy Schibler, Nina Schipoff.
Exposition du 13 au 20 novembre, de 17h30 à 19h30
CONFÉRENCE à KUGLER à 18h, par Christian Jelk, vice-président de Visarte. suisse, «L’utopie Visarte».
PERFORMANCE à KUGLER à 19h, par Christian Humbert-Droz, sérigraphe.
FOOD TRUCK THAÏ, MUSIQUE.
Fête-événement de Visarte. Genève à l’Usine Kugler, av. de la Jonction 19. Invitation à toutes et à tous
Pendant toute l’année 2016, la Société suisse des artistes visuels célèbre son Jubilé dans les différents cantons.
L’emblème de ce tour de Suisse est un triporteur qui s’arrêtera à Genève les 11 & 12 novembre.
11 novembre à 11h
Halte à la HEAD Rencontre-apéritif avec les étudiants de la HEAD, bd Helvétique 9, hall d’entrée.
Vernissage le 12 novembre dès 17h30
Exposition du 13 au 20 novembre 2016 de 17h30 – 19h30 et sur rendez-vous au 076 223 59 51
Les plages accueillent avec les coquilles, les linceuls vomis par la mer.
Morts, leurs existences se révèlent une fois ensevelies, un peu à la façon des œuvres emballées de Christo. Ces toiles de lin sculpturales prennent la forme de leur contenant.
Recouvert et découvert, dedans et dehors se fondent, le fond trouve sa forme.
Les suaires dévoilent la forme de leurs corps, comme les sépultures pyramidales conservent le corps du roi, leurs enveloppes sont protégées par ces escaliers qui nous mènent on ne sait où.
Les linceuls se muent en cocon, les défunts reposent en chrysalides, déclarant ainsi leur humanité, aspirant à se déployer.
Evénement également ce soir du 12 novembre avec VISARTE.FONCE pour une exposition anniversaire à l'occasion des 150 ans de visarte.suisse au Garage19 de Kugler (information plus bas)
espace kugler
art contemporain
19, avenue de la jonction - 1205 Genève
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Bureau d’étude de compensation | Bureau d’espace de décompensation (BEC BED) et l'Espace Kugler présente
"décadence programmée de l’art performatif, de l'habitat et de l’irvinisme". du 14 au 16 octobre 2016
une proposition de Cédric Henny & Tilo Steireif
http://becbed.net
Vernissage le 14 octobre à 19h00 / allocution à 21h00
A l'espace Kugler, présentation de la publication "Jeudi passé" avec la participation de Sylvain Froidevaux, Micha Hedinger, Beatrix Premazzi et Park Stickney. L’espace Kugler vernira avec l’exposition de BEC BED la publication « Jeudi passé ».
BEC BED, un bureau d’exploration de l’espace public
Initié en 2000, il mettait à l’époque en œuvre « le carnaval des bourses fédérales », un projet de compensation-décompensation de l’artiste qui gagne. Il s’agissait de produire un projet artistique « vite fait » une semaine avant le délai final pour l’octroi des bourses fédérales en arts de Suisse.
En 2011, BEC BED naît formellement d’abord dans un petit groupe d’explorateurs urbains à Lausanne, puis en duo, avec Cédric Henny & Tilo Steireif. Onze ans après, Cédric Henny & Tilo Steireif reprennent leur travail entre 14h00 et 18h00 le jeudi à « standard-deluxe » à Lausanne. Ils questionnent durant des heures de bureau, la ville et l’aménagement urbain.
A l’Espace Kugler, il sera question de commémoration (100 ans de DADA) et d'allocution avec VAVA. Le bureau d’espace de décompensation dit : « VAVA » et se demande qui est là aujourd’hui ; que sont devenus les premiers inconnus : les jeunes genoux huilés exaltant le 11 avril 1916 le cabaret Voltaire à Zurich avec leurs mandolines et leur danse affolante, disparaissant à jamais dans la nuit ?
La publication « jeudi passé » vernie officiellement à l’Espace Kugler invite à soutenir les dadadocumentaires critiques. Il est question d’une investigation méticuleuse des espaces sous-exploités à Lausanne (ces espaces de compensations potentiels pour artistes comme les églises et les supermarchés) et de revoir des travaux actualisés du « carnaval des bourses fédérales ».
Enfin, à l’Espace Kugler, BEC BED questionnera par un objet un nouvel aménagement urbain, l’écoquartier de la Jonction sur l’ancien site d’Artamis. Tilo steireif, octobre 2016
Tilo steireif, octobre 2016
Jeudi passé
La publicartion Jeudi passé offre de revenir sur les différents travaux de Steireif & Henny, en parcourant les sujets aussi divers que le DADA documentaire, les manœuvres artistiques, les espaces de pèlerinages ou les dessins glossolaliques. Le premier chapitre traite d’un travail entamé en 2000, et qui propose une nouvelle lecture de la Street Parade de Zürich sous forme de jeu. Le chapitre 2 rassemble les différents points de vue sur une chapelle lausannoise, abandonnée de ses fidèles où la glossolalie rejoint l’espace urbain désaffecté.
Jeudi passé | n° 01 68 pages | limité à 300 exemplaires Prix CHF 18 .– (+ 2.- de frais de port)
Vernissage, mardi 20 Septembre à 18h
Exposition du mardi 21 au Vendredi 30 septembre 2016
Exposition ouverte du mardi à dimanche de 16h à 20h
Finissage, vendredi 30 septembre à 18h30
Une table ronde viendra clore l'exposition
La biologie et l'amour II fait partie d'une série d'œuvres où Núria Duran enquête et travaille sur les liens entre les êtres vivants et le monde qui les entoure.
Elle invite à repenser les relations et les liens perdus par les habitudes et les désirs imposés par une société de consommation capitaliste, dans l'urgence de la crise que nous vivons et dans la nécessité de construire d'autres formes de voir et de vivre la vie.
A partir de la représentation symbolique de corps cellulaires, elle invite le spectateur à participer à une expérience intime, à chercher cette connexion première avec le monde vital amoureux, à revenir au noyau et à se reconnecter.
Núria Duran (1971), artiste catalane diplômée en art à l’Université de Barcelone. Au fil de son parcours artistique, elle a exposé dans des galeries et des centres d’art en Espagne, au Portugal, en Allemagne et aux ÉtatsUnis. Elle a commencé par se former au design textile et à la peinture puis a enrichi son travail par le collage et la gravure en tentant plusieurs expériences formelles. Pendant de nombreuses années, le paysage a été sa source d’investigation et de création ; elle a cherché à mettre en évidence les structures que cachaient la couleur et la forme du paysage. Ces dernières années, elle a exploré le domaine des structures, à partir de l’intérieur du corps humain et non plus de l’extérieur, poussée par l’irrésistible pulsion de donner forme à ce micro univers sous toutes ses formes de représentation ; et ce, jusqu’à la partie la plus infime, le noyau duquel tout naît, c’est-à-dire la cellule. Núria Duran propose des installations et des sculptures où les points de jonction ne sont plus fixes ; le corpsœuvre peut toujours continuer à se transformer en corps mobiles et communicants.
Vernissage le vendredi 8 juillet 2016 à 18h
Exposition du samedi 9 au dimanche 31 juillet 2016
Mardi de 15h à 19h, samedi et dimanche de 15h à 19h et sur rdv
Finissage dimanche 31 juillet 2016 à 16h
Des checkpoints palestiniens, je suis allée à la rencontre des checkpoints européens. Les checkpoints, ces dispositifs de contrôle et de sécurité qui nous confrontent aux fondements des sociétés impérialistes du 21ème siècle. L’urgence, l’urgence comme méditation quotidienne, « l’urgence »… l’urgence de survivre, accueillir en urgence, l’argent de l’urgence, le profit de l’urgence.) Installation vidéo et de photographies à l’espace kugler.
www.destinationcheckpoints.com
Réalisation : 2014-2016
Urgence 3 - Baia Mare, © Ariane Arlotti
http://espacekugler.ch/arianearlotti.html