CONCERT SAMEDI 21 OCTOBRE
20H . OUVERTURE DES PORTES
Œuvres :
Michel Roth (*1976) en collaboration avce Daniel Zea (*1976)
pod (2017) première
Hommage à Jacques Tati
Arturo Corrales (*1973)
riff (2017) première
Fernando Garnero (*1976)
Junkspace (2017) première
for amplified ensemble, transducers and objects
Avec:
Mathias Kuhn, Anne Gillot, Bettina Berger, Rada Hadjikostiva-Schleuter, Martin Bliggenstorfer, Patrick Schleuter, Andrea Nagy, Aurélien Ferrette,
Elise Jacoberger, Jocelyne Rudasigwa, Vera Schnider, Emilio Guim, Samuel Fried, Jeanne Larouturou, Maximilian Haft, Arturo Corrales, Jan-Filip Tupa, Fernando Garnero, Daniel Zea
Que se passe-t-il lorsque l’on jette de petites particules (proton) dans un tourbillon (vortex) ? Que peut-on observer si on examine ce tourbillon au microscope ? Un Protex ? Ou serait-ce plutôt
un Vorton ? L’ensemble Proton de Bern et l’Ensemble Vortex de Genève s’unissent pour tenter de répondre à ces questions (et bien d’autres encore) autour d’un projet commun. Les deux ensembles ont bravé le « Röstigraben » et collaborent en apportant leurs particularités et spécialités propres.
Les musiciens sont particulièrement intéressés par l’aspect interdisciplinaire de cette rencontre, par le mélange de sonorités acoustiques, instrumentales avec des sons électroniques diffusés par haut-parleurs, par la fusion mais aussi l’opposition de ces deux musiques.
L’ensemble Proton de Bern et l’Ensemble Vortex de Genève sont tous deux des acteurs clés de la scène musicale contemporaine de leur ville respective. Ils œuvrent pour la première fois côte à côte et ce ne sont pas moins de trois créations mondiales qui seront jouées à cette occasion. Composées spécialement pour ces ensembles par Michael Roth, Fernando Garnero et Arturo Corrales, ces pièces résultent toutes de l’étroite collaboration avec Daniel Zea, artiste électroacousticien. Une des compostions est écrite pour l’effectif complet des deux ensembles réunis, soit 15 musiciens. Les autres respectivement pour 7 et 8 musiciens mais toujours issus des deux ensembles en conservant ainsi le mélange des identités culturelles régionales et des villes. De ce fait, l’échange entre francophones et germanophones, mais aussi entre les éléments acoustiques et électroniques, s’opère durant tout le concert.